Frederic Clerc-Renaud, sculpteur bronze

Sculpteur bronze certes, mais aussi artiste peintre et designer

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Friday, March 30, 2012

sculpture femme

Printemps sec, beau temps, fleurs, oiseaux et sculptures.
Que demander de plus ?

Ma collection s’étoffe toujours plus de nouveautés.
Les anciennes sculptures jamais éditées en bronze sont retravaillées.
L’imagination carbure à fond, comme la truelle à plâtre.

Un feu sacré en chantier en fonderie.

et Zia qui se cherche un collectionneur…

sculpture

sculpture

je vous la présente. Si vous voulez en savoir plus sur elle, contactez moi, car elle n’est pas sur Meetic.

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posted by admin at 10:58  

Friday, March 23, 2012

Investir dans l’art

Très bien cet article paru dans la chronique Agora

je me permets de le reprendre sur ce blog

 

 

Investir dans l'art : un refuge contre la crise ?
Ségolène Zimmern

Dans un article de BusinessWeek, Tony Werley, directeur de gestion de portefeuille chez JPMorgan Private Bank, cite nombre d’obstacles à l’investissement dans l’art : notamment la difficulté d’évaluer l’art, son manque de liquidité, les coûts de transaction élevés et la volatilité des prix. Or la réussite de plusieurs fonds dans le domaine de l’art démontre l’inverse.

Des gagnants et des perdants, comme partout


En 1974, le tout premier fonds à placer en oeuvres d’art, le British Rail Pension Fund, avait décidé de prendre un risque et de couvrir ses investissements en plaçant plus de 75 millions de dollars en oeuvres d’art. Au cours des années suivantes, le fonds a acquis – avec l’aide de Sotheby’s – tous types d’oeuvres, des tableaux de grands maîtres, de la porcelaine chinoise, etc.

Au début des années 1990, lorsque le fonds eut terminé de vendre la majorité de ses oeuvres, il affichait une plus-value moyenne de 13,1% par an, selon Forbes. Exemple plus récent : le Fine Art Fund, crée en 2004 par Philipp Hoffman, ancien directeur financier de la maison d’enchères Christie’s, a atteint un taux de rentabilité de 36% depuis ses débuts (1).

D’autres ont voulu profiter du marché de l’art mais se sont confrontés aux obstacles énumérés par Tony Werner. Ainsi, le Fonds BNP Art de BNP Paribas aurait perdu plus de 40% de son investissement de huit millions de dollars. La Chase Art Fund, fonds dédié à l’art de la banque américaine Chase Bank, a également subi un échec. Concours de circonstances peut-être, ou manque de connaissances en matière d’oeuvres d’art, car d’autres ont su tirer profit de la période de crise.

L’Art pour le moment gagnant dans la crise


Comme l’explique Olivier Maman, gestionnaire du fonds SGAM AI Art Fund crée en 2008, "la crise des subprime impacte peu le marché de l’art. Ce dernier est soutenu par l’explosion de grosses fortunes sur ces dernières années".

Les ventes aux enchères répertoriées à travers le monde le confirment : entre 2010 et 2011, les ventes ont grimpé de 21%, représentant un chiffre d’affaires global de 11,5 milliards de dollars (ArtPrice). Selon Les Echos, "Sotheby’s Hong Kong affiche à l’automne 2011 des résultats parmi les plus forts jamais enregistrés".

Une étude de la rentabilité de l’art par rapport aux marchés d’actions, grâce à l’indice MeiMoses crée par Michael Moses et Jianping Mei, professeurs de la New York University Stern School of Business, démontre qu’entre 1999 et 2004, l’art aurait rapporté 7,27% contre -2,4% pour le S&P 500. Moses en a d’ailleurs tiré une conclusion intéressante : "l’art serait très peu corrélé aux actions et aux obligations" (2).

L’art serait-il donc une valeur refuge ? L’art subit une appréciation dans le temps, justifié par l’effet de rareté, et profite du phénomène du luxe. Le luxe reste souvent un secteur vacciné contre les crises, et donc l’art en tant qu’objet de luxe est par principe immunisé car il existe toujours des acheteurs.

En revanche, les plus-values varient et dépendent largement de l’oeuvre. Souvent ce sont les oeuvres connues et prisées qui présentent les moins bonnes perspectives. Aujourd’hui la cote d’un Botticelli progressera moins que celle d’un artiste inconnu, car les oeuvres de celui-ci s’acquièrent très peu cher. C’est ainsi que la valeur des oeuvres de Jean-Michel Basquiat a grimpé de 183% en cinq ans (3).

Achetez bon marché pour revendre cher


C’est tout l’intérêt d’investir dans l’art contemporain ; pour que l’oeuvre puisse s’apprécier dans le temps et se revendre avec des marges plus intéressantes, il faut commencer maintenant. Hormis l’effet de nouveauté (effet qui touche le secteur de la mode et explique les changements de tendances), les nouveaux riches chinois ont compris que l’art contemporain était un investissement.

Le marché de l’art en Chine a dépassé les 24,7 milliards d’euros, ce qui représenterait 23% du marché mondial de l’art. Mais pas n’importe quel art. Cette année, c’est une peinture de l’artiste contemporain chinois Qi Baishi qui est devenue la vente la plus importante dans l’histoire de l’art, avec un record de 52,4 millions d’euros (4).

Bénéficiez d’avantages fiscaux


Espoir de plus-value à part, l’art est, pour l’instant, l’un des investissements qui bénéficie d’un cadre fiscal avantageux en France. Les oeuvres d’art (tapis, tapisseries, céramiques, émaux, statues et sculptures originales, tableaux, peintures, dessins, estampes, gravures, photographies et montages audiovisuels) sont exonérées de l’ISF.

En ce qui concerne la plus-value : le particulier qui détient un objet d’art depuis plus de douze ans peut être exonéré de toute fiscalité à la revente. Il s’agit d’un abattement de 10% par année de détention de la plus-value au-delà de la deuxième année, prévu dans le régime de droit commun (5).

Préparez-vous bien


Malheureusement, le monde de l’art n’est pas si simple que cela. Il existe des pièges fiscaux, des inconvénients à anticiper selon les oeuvres que l’on choisit de collectionner, et des coûts de possession et parfois de rénovation à prévoir. Avant de rêver de faire des plus-values importantes en vous amusant, il faut vous préparer à devenir un collectionneur avisé.

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posted by admin at 16:17  

Monday, March 12, 2012

Moulage de sculptures

Pas eu beaucoup de temps à consacrer à ce blog ces temps derniers.

Les dernières sculptures faites en plastiline avaient besoin d'être répliquées dans un matériaux plus dur. 
Je les ai moulées au plâtre avec ma technique allégée habituelle. quatre à cinq millimètres de plâtre maximum. Un seul plan de joint.

Beaucoup de doigté pour ouvrir les moules sans la massacrer, la plastiline étant froide. Mais il y a eu quand même de la casse, vite réparée.

Aujourd'hui les quatre répliques sont faites, et en train de sécher. Restent les retouches et la ciselure avant la réalisation des membranes en élastomère sous chape.

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posted by admin at 14:38  

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