De retour de l’exposition internationale Gemlucart, à l’auditorium Rainier III, Principauté de Monaco.
Un aller retour dans la journée sur les chapeaux de roue pour récupérer l’unique oeuvre exposée. Descente par la route d’Entrevaux et remontée par l’autre côté vers Hyères pour changer de paysage.
Bilan: un beau salon, beaucoup de monde au vernissage. Mais comme on le remarque souvent, quand on ne vend pas au vernissage, c’est cuit pour la suite.
Et ça s’est vérifié. Il faut dire aussi que parfois les prix affichés calment les ardeurs. Donc en définitive, je dirais qu’il faut être très très raisonnable, surtout en ces temps de crise, et j’ajouterais qu’il faut aussi montrer des choses vraiment pas ordinaires pour espérer vendre quelque chose, et là encore, j’ajouterais, surtout par les temps qui courent.
Encore une petite chose, j’ai trouvé que l’accès à l’auditorium, par l’intérieur du Tunnel qu’on voit en F1, n’est pas très commode. Il vaut mieux se faire déposer en taxi.
Bref, j’avais hâte de sortir de cette très belle cage dorée qu’est Monaco pour retrouver mes dernières créations en cour, auxquelles j’ai eu le temps de réfléchir en roulant.
Des choses vraiment plaisantes à voir, qu’on ne voit pas du tout en galeries d’art, et à la réalisation desquelles je prends un plaisir incroyable.
Des tableaux d’un genre très spécial.
J’espère que celui qui aura la chance de les voir, ne pourra rien faire d’autre que de succomber à la tentation.
Amen