Frederic Clerc-Renaud, sculpteur bronze

A la cour de Louis XIV, 1686 fut « l’année de la fistule », expression qu’utilisèrent les contemporains et qui est souvent reprise par les historiens d’aujourd’hui.
Cette fistule qui incommoda l’anus de Sa majesté nécessita une douloureuse incision ( restée célèbre comme les débuts de la chirurgie moderne et pratiquée avec succès par le médecin Charles-François Félix*) le 17 novembre. Le monarque se rétablit après plusieurs mois de souffrance. Le marquis de Sourches écrivit : « cette guérison donna une extrême joie à tout le monde car on peut assurer que depuis les plus grands seigneurs jusqu’aux derniers hommes de la lie du peuple il n’y en avait eu aucun qui n’ait eu d’extraordinaires inquiétudes pour sa vie ».

Pour célébrer la guérison de Louis XIV, la duchesse de Brinon, supérieure de l’Ecole des demoiselles de Saint-Cyr, écrivit le poème Grand Dieu sauve le roi, que Jean-Baptiste Lully mit en musique.

En 1714, Haendel fut émerveillé à l’écoute de ce motet, l’emporta en Angleterre sans en changer une seule note de musique et s’en attribua la paternité. En l’honneur de George Ier, il en traduisit le titre, qui devint God Save the King. C’est depuis l’hymne national des anglais.

Danse ses souvenirs, la Marquise de Créquy écrit : « Que l’hymne des Anglais naquît d’un anus, voilà qui ne cesse de me faire rire sans toutefois me surprendre ».

Fin du pétrole. Fin d’une époque.

Et pourtant, il semblerait qu’une solution qui n’arrangeait pas le business, ait été proposée par nikola Tesla.
Technologie mise de côté apparemment quand JP Morgan s’est aperçu que le retour sur investissement serait nul.
A la lecture de ce document,on est à même de s’interroger sur de nombreux évènements récents, et penser que la pensée de Tesla n’a pas été perdue pour tout le monde.
Interrogés sur ce sujet, quelques spécialistes estiment que ce ne sont que des élucubrations. Et pourtant… la science des quantas, des neutrinos, les légendes védiques, les shamans, les guerrisseurs, tout nous parle d’une même chose: L’ENERGIE LIBRE.

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"Après la bulle financière, la bulle de l'art contemporain. Explosera, explosera pas ? Ben Lewis a filmé cette aventure comme un polar.

Le 15 septembre 2008, le jour où Lehman Brothers faisait faillite, les oeuvres de Damien Hirst se vendaient pour plus de 70 millions de livres chez Sotheby's. Depuis la fin de 2007, tandis que le reste de l'économie s'asphyxiait, la bulle de l'art n'avait cessé d'enfler. Mais un mois après la vente Hirst, le marché entamait sa dégringolade. Tourné comme un policier, le film de Ben Lewis révèle les pratiques du milieu et démonte le mécanisme de la spéculation à travers des interviews de critiques, commissaires-priseurs, galeristes et collectionneurs, dont certaines obtenues de haute lutte."

ne pas manquer la rediffusion lundi 30 novembre à 9h55

httpv://www.youtube.com/watch?v=TV8LgmPVfi0

et oui !

c’est génial !

mais c’est très très cher !

httpv://www.youtube.com/watch?v=Ydf1gbqaOGA

un fournisseur ? c’est ici

La presse l’a annoncé. Vous allez êtres éblouis si vous allez à la FIAC. Je n’y suis pas allé, ni en tant que visiteur, ni en tant qu’artiste, car quoique je sois un artiste vivant, paradoxalement, mon travail n’est pas qualifié de contemporain.
En effet, si on parcours les pages du site de la FIAC, on comprend un peu mieux..
Bref, je n’ai pas accroché, et même si il y a quelques bonnes choses, j’ai été loin de trouver la qualité qu’on trouve dans les galeries que je considère comme étant les meilleures françaises et que je ne citerai pas. Je pense que participer à la FIAC résulte d’un état d’esprit, d’une approche marketing et qu’il faut avoir les produits adéquates. Ce qui n’est pas mon cas.
Dès lors, il semble que l’art soit devenu une sorte d’entité bicéphale, ou un Janus. Un Jean qui rit et un Jean qui pleure.
Je suis heureux quand je me balade dans les galeries auxquelles je songe. Mais là, la FIAC m’a filé le blues.

Ces temps, je suis dans l’élasto jusqu’aux aisselles, et une de mes sculptures est tellement compliquée,  longue à reprendre dans les détails, et unique, que j’ai décidé que je n’en ferai sans doute pas une seconde, pourvu que quelqu’un mette le prix, qui sera également unique et compensera la frustration que j’aurai  de détruire le moule et de ne pas en avoir une pour moi .

Pas de chiffres, mais si quelqu’un est réellement très intéressé par cette sculpture unique qu’est Genesis, alors, qu’il se fasse connaître.
Avis, donc, aux collectionneurs, courtiers et toutes personnes sensibles à plein de belles choses.

Un joli nom, pour un beau couteau plein de poésie. On aurait presqu’envie de s’en offrir un tellement ça sent bon le terroir de la douce France. Seulement voilà, deux enquêtes coup sur coup, montrent l’envers d’un décor pas très engageant.
Si on fabrique toujours des couteaux à Laguiole et à Tiers, force est de constater que l’essentiel de la production commercialisée provient des ateliers Pakistanais et Asiatiques. Rien à dire quand on sait que la marque ne bénéficie d’aucune protection et que n’importe qui peut estampiller du Laguiole. Mais là où ça devient franchement désagréable, c’est de sentir qu’on se fait sodomiser à la lame par des commerçants sans scrupules, et de mauvaise foi, qui vendent de tels outils comme étant d’origine française, au prix des vrais couteaux fabriqués à Laguiole et à Tiers.
Étant donné le coût de la main d’œuvre en France, on se doute bien que pour en avoir un vrai beau, il faut mettre la main au fond de la poche pour en sortir autre chose qu’une dizaine d’euros. Ce qui fait qu’il ne faut pas se plaindre quand on en a acheté un pour presque rien et qu’on apprend ensuite qu’on s’est fait avoir par une publicité mensongère étalée dans un salon mettant en valeur de soi disant produits du terroir français.
Alors, comment être sûr de s’offrir un vrai beau canif ? Comment ne pas sa faire gruger quand la tromperie se tapit jusque dans le berceau du Laguiole  et qu’on n’a pas assez de nez pour déceler la “merdouille” étrangère ? Franchement ! Aller directement à la forge et certainement pas passer par un intermédiaire qui ne voit dans ce merveilleux objet rien d’autre qu’un moyen de s’en mettre plein les poches à bon compte.
C’est vrai pour le Laguiole, c’est vrai également pour la porcelaine dite de Limoges, made in Tunisie, vendue à cinquante fois le prix d’achat, et c’est vrai pour bien d’autres choses. L’industrie a tué le terroir et c’est bien compréhensible dans un contexte d’hyper consommation que l’artisan est bien en peine de suivre ?
Une bonne chose de voir qu’à Technolac, Signoptic offre l’antidote au mal qui ronge la création française.
Affaire à suivre…

pour en savoir plus

Je suis dans les moulages jusqu’au cou. Même plus de temps pour créér même si mouler fait partie du job.je ressors les vieilleries que je retravaille, d’où l’utilité des répliques en plâtre.
J’en fais de petites merveilles et j’évacue celles qui ne valent pas un clou.
Elasto en estampage pour les grandes avec carapace ne Acrystal.

Coulée sous chape pour d’autres plus petites, avec contre moule en résine epoxy. ça va tellement plus vite. Panne de gaz pour fondre la cire. Surprise des enfants qui ouvrent la vanne pour faire la cuisine. heureusement, c’est en plein air… Mais tout de même…Il va falloir prendre des dispositions.
Petite pause dans une heure pour profiter du beau temps et aller faire quelques longueurs de lac avec les grandes palmes. Le cas de dire que c’est le pied.

Me voici de plus en plus confronté à monsieur Le Nantec. Normal, on fait tous les deux de notre mieux pour sublimer et célébrer la nudité féminine. Toutefois, la comparaison s’arrête ici, car nos travaux ne peuvent se confondre.
On parle de maître et d’élève. Pourquoi pas. Mais soyons clairs, si j’admire les sculptures de Jacques Le Nantec, j’ai ma propre façon de de faire et j’entends bien que personne ne me tienne la bride.
Pourtant, il est vrai que c’est sa sculpture “Ecume” exposée dans une galerie d’art qui m’a filé le virus.
Mes sculptures sont exclusivement tirées à huit exemplaires numérotés hors les quatre numéros d’artistes.

Toutefois, certaines sculptures ne seront tirées qu’à trois exemplaires, de mon temps. Ce qui va donner une sacrée rareté qui je l’espère, plaira aux collectionneurs. Et d’autres resteront des pièces uniques, parce que out simplement, je n’ai pas envie de faire la suite des tirages. Et oui, mon travail évoluant, il me semble que c’est raisonnable, d’autant que je n’ai pas assez de temps pour mener de front toutes les idées que j’ai en tête. Ensuite, il faudra suivre les droits d’auteur, lesquels se transmettent….
Donc, si vous avez envie de vous offrir un bronze signé clerc-Renaud, venez à mon atelier galerie. J’aurai de bien belles choses à vous proposer pour un montant vraiment très raisonnable, taquinant à peine les cinq chiffres, pour des sculptures de fort belle taille qui n’ont nullement à rougir devant les beautés signées “Le nantec”.