Un peu de peinture acrylique pour changer de la sculpture.

lady
Sculpture, Peinture, design artistique , Travaux de Staff
Pas fait beaucoup de choses ces derniers temps, et avec des soucis de PC, peu de publications depuis la derière fois, ce qui ne veut pas dire que je suis en berne.
Bien au contraire.
Pas mal de peintures que je dois photographier.
Par ailleurs, je suis de retour à la menuiserie et à l’ébénisterie;
Une cure de copeaux pour le printemps ne gache rien.
J’aime bien cette oeuvre que j’ai appellée “Rébus” ou “Rebus” ? Chacun jugera.
Here it is !
my latest elephant.
Plaster
42 centimeters high, top ear.
Length 65.
The silicon moulding will be rather complicated because of the rump and tusks.
Hope everything is okay.
Might turn into bronze sculpture one day.

sculpture elephant
Spent a few days creating a new sculpture. Another elephant. Couldn’t wait having a big one with huge tusks. Couldn’t wait any longer trying to improve the work.
Now it’s nearly done. Size one tenth life size. The skin is a big issue when it comes to imitate genuine leather.
As a lot of clay was necessary to achieve such a work I decided to build the skeletone in clay and to cover it with a layer of clay. So it is hollow nearly every where except for tusks and rump.
Of course props were necessary here and there, that will eventually be removed just before molding it with plaster.
A one day process, and two more until it is completely dried up before duplicating and retouching flaws.
Anyway, right now, just as it is, I hope it is rather realistic. But when it comes out of the mold, in dark grey, I think it will be an outstanding piece of work I will be proud of.
Je pense en avoir fini avec mon éléphant numéro deux. Il avait une défense cassée, comme certains vrais, mais finalement, je lui en ai fait une toute neuve.
Un vrai boulot de prothésiste. Finalement, dentiste, c’est assez simple comme boulot, même si l’horizon est assez bouché.
Il va falloir le rebaptiser. Peut-être “capitaine Fracasse”.
Tel que je le vois, quand je me retourne, il a l’air infiniment vivant.
Ses larges pavillon brassent l’air ambiant à l’affût de sons qui nous sont inaudibles, tristes humains.
Je lui imagine beaucoup de congénères, au travers d’études de caractères, ayant constaté à quel point chacun est unique, physiquement, et psychologiquement.
Je suis d’ailleurs tombé sur la photo d’un grand mâle dont l’expression fait froid dans le dos. Ce doit être un roi. L’esprit de l’Afrique.
Aujourd’hui, c’est un jour très spécial pour moi, alors je me suis fait un petit plaisir.
Une nouvelle sculpture.
J’ai fait un éléphant il y a quelques temps, mais comme il est moche, j’en ai refait un autre, qui je l’espère sera mieux.
Plus gros et mieux proportionné.
Etude de l’anatomie, afin de voir comment fonctionne ce magnifique animal.
Pas simple la première fois quand il faut mémoriser les masses osseuses et leur architecture.
Mais bien plus facile, en définitive, que la sculpture humaine , mise à part la peau…
Enfin, on verra, si je peux trouver une technique.
Demain, peut-être, je la répliquerai en plâtre.
Le Taureau, animal mythique, de la Grèce antique à l’Egypte.
Zeux prit son apparence pour enlever Europe.
Symbole de puissance associé aujourd’hui à la corrida, et au luxe automobile.
Je lui ai donné l’apparence de son ancêtre l’Auroch.
Les aplombs, les cornes, l’encolure, le train arrière, tout est surdimensionné pour renforcer cette impressionnante force que dégage ce fière animal.
J’ai adoré travailler dessus.
Le sujet n’est pas facile, quand il faut travailler de mémoire, à l’impression visuelle. Mais à force d’en faire, je devrais arriver à sortir quelques pièces intéressantes à poser sur une commode.
En le voyant, à taille réduite, j’imagine ce que peut ressentir le paisible promeneur qui se retrouve en ligne de mire, au milieu d’une prairie marécageuse comme celle qu’on trouve en Camargue.
“Mon royaume pour un cheval !”
Rupture.
Passage de l’anatomie humaine à celle des animaux de caractère.
Les éléphants, les rhinos, les Taureaux.
En voici que j’ai appelé “Nadal”.
Le taureau des Asturies.
Increvable, hargneux, teigneux, malin, avec une paire de cornes dignes des anciens Aurochs ibères.
De la fierté, au moment d’entrer dans l’arène, et au delà de la mort.
Affranchissement du réalisme pour conserver l’empreinte des doigts, des errements dans la recherche de mémoire, de ce que j’ai pu retenir sur des blogs. Cette puissance qui part du train arrière et qui semble faire enfler la partie antérieure comme une cocotte minute prête à exploser.
Conscience de cette force, de cette paire de corne que l’animal aimerait tant tester sur le matador pour l’épingler comme un vulgaire papillon sur le sable ensanglanté de l’arèna.
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