Vraiment très interessant ce film sur Arte retraçant l’histoire des oeufs du célèbre joailler Fabergé.
Perfection du travail jusqu’à l’excellence qui explique pourquoi ces œuvres, dispersées lors de la révolution Bolchevique, ont tant de valeur et qu’un milliardaire Russe ait réussi à mettre la main sur la collection Forbes pour la modique somme de cent millions de dollars.
Bonne chose que ces oeufs se trouvent peu à peu réunis dans un même panier sous le plumage Russe.
Quel joailler, aujourd’hui, pourrait créer ce que seul un génie a pu imaginer et réaliser. Probablement aucun si on en juge d’après l’ensemble des techniques mises en œuvre, et ce même s’il est vraisemblable qu’il a fallu qu’une équipe d’homme de grand talent s’attelât à une tache qui nécessitait parfois plusieurs années de travail. Une soixantaine d’oeufs au total. Autant de joyaux destinés à célébrer les événements marquants de l’histoire Russe et de la famille du Tsar Nicolas II.
De mon côté, pour en revenir à des choses plus terre à terre, j’ai terminé de mouler la princess TamTam. Tout s’est bien passé. Le moule en deux parties s’est ouvert comme un gros fruit mur, sans casse. Il sèche tranquillement en attendant qu’il puisse livrer une belle réplique en plâtre.