Frederic Clerc-Renaud, sculpteur bronze

De Peinture et de Sculpture

Professional guidance through the world of fine art investment

"Collection Privee has a remarkable portfolio that includes works from some of the most accomplished artists of the last century. In this gallery on Lincoln Road in Miami Beach, you may discover amazing contemporary sculptures from world-renowned artists like Frederick Hart, Richard MacDonald, Ernest Trova, Mark Brazier-Jones, Yankel Ginzburg, Tolla Inbar , M.L. Snowden, Michael Wilkinson, Alex Wagman, George Beckman , Steven Zeluski , and Gil Bruvel.

Amongst the American sculptors whose reputations are rapidly growing are Gil Bruvel, Bill Toma , Alex Wagman, Paige Bradley, George Beckman, Steven Zaluski, Marc Sijan. Collection Privee is proud to represent them all.

In addition to works by the three dimensional artists listed above, Collection Privee also represents an enviable list painters from all over the world, such as Walter Girotto from Italy , Cuban born Vicente Dopico Lerner, Maximo Caminero from the Dominican Republic, former Moscovite Vladimir Gorsky, Gregory Blin from Paris, Eva Lopez and Fabiana Anton from Peru, Argentines Maxim Lipzer and Eduardo Bartoli, Australian Robert Hagan, Gil Bruvel French Canadian, Gabriella Garza Padilla from Mexico, Parisian Pascal Chove, Canadian Laurent Viens……."

C’est un peu collant quand on s’en sert, mais avec une paire de gants en latex, c’est plutôt bien.
Bref, le moule du “Feu sacré” avance enfin et sera terminé après demain. une belle coque légère sur un elasto renforcé à la verranne. Un beau moule pour une splendide sculpture.
Un beau moule pour réaliser de belles cires et de beaux bronzes.
Certains travaillent avec du Molda et de la filasse. Quelle horreur ! Du feu avec des silex au temps des briquets. Surtout que ça vas pas tellement plus vite en temps. Et le résultat ne fait pas très “Pro” si on peut dire.
La résine Acrystal est une bonne alternative, à condition de l’employer avec du retardant et une trame de renfort adéquate. On obtient alors une belle coque de cinq millimètres d’épaisseur.
Ce sont de loin les meilleures solutions et si on veut faire encore mieux, on peut prévoir d’insérer des pivots qui permettront d’installer le moule sur un berceau, ce qui simplifiera les opérations de moulage à la cire, surtout pour une personne effectuant seule, les opérations de remplissage-vidage.
Ça peut sembler simple.
Ça ne l’est pas du tout.
Sauf pour ceux qui savent.

A propos de savoir faire, moi qui adore le kayak, j’ai trouvé très intéressant:

httpv://www.youtube.com/watch?v=7UsHrSzM9zI

On ne change pas une équipe qui gagne. On l’a toujours dit et ce devrait être la même chose pour le moulage.
Je fais toujours des moules en coulée sous chape epoxy. L’épaisseur de silicone est constante et la membrane a une excellente tenue dans sa chape.
Quelle idée ai je eu de vouloir mouler “le feu sacré” en estampage et renfort de verranne. C’est un boulot de fou. Certes ça économise un peu d’elasto mais on perd un temps fou car il faut faire deux fois du travail avec de la verranne qui, même s’il est vrai  qu’ elle permet d’épouser des formes complexes, nécessite beaucoup de coups de ciseau.

Et puis il y a cette chape qu’il faut faire en plusieurs parties, comme d’habitude, sauf que là, le problème est de créer des plans de joints à même le silicone, sur lequel rien ne tient.
J’ai réussi à en faire une en plâtre Molda renforcé de filasse. mais c’est pas du boulot comme j’aime.
J’ai tenté d’utiliser de la résine Acrystal. Mais mon fournisseur ne fournit pas la toile qui va avec. Genre de toile de staffeur. J’ai tenté le coup avec de la filasse de staffeur, mais ça fait une choucroute abominable d’autant que le produit prend d’un coup, comme du ciment prompt, plus vite que du molda.
Bref, pour la pièce détachée, retour, à la méthode “Pro”. L’autre me semble du bricolage tempovore.

httpv://www.youtube.com/watch?v=yeUNwvtI1Io

Voilà qui est fait !

Une journée de moulage sur mademoiselle. Dépose des bras pour les mouler à part car il est aisé de les remettre en place une fois la réplique en plâtre faite.
Le moule est bien sorti, très propre, sans casse, malgré la taille. Cinquante huit centimètres. Un peu moins de quatre kilos et remarquablement léger. Je me suis surpassé car au minimum, il fait 3 millimètres d’épaisseur et 15 mm au plan de joint. Il m’est arrivé d’avoir des endroits “lumineux”, mais c’est vraiment risqué quand on enlève la terre, sans parler de l’ouverture du moule en deux parties. Heureusement, la technique que j’ai mise au point fait des merveilles.

moulage

Christian Guillot, le peintre, se définit avant tout comme un coloriste. On ne le présente plus dans la région d’Aix-les-Bains, puisqu’ il est devenu en quelques années une des figures de l’art savoyard, un peu au même titre que le dahu, sauf, que lui, on le voit partout et qu’il ne tombe jamais à la renverse quand on l’interroge sur son art, à moins de lui demander ce qu’il a voulu suggérer en deuxième écriture lorsqu’il a composé telle toile. Sa réponse est qu’on lui parle de la première écriture car de celle ci il n’a pas la moindre idée.
Il peint à l’inspiration, des toiles hautes en couleurs où dominent le rouge et de nombreux graphismes d’or suggérant des idéogrammes chinois ou japonais, dans lesquelles chacun voit ce qu’il veut. Hautement décoratives, on ne reste pas indifférent devant son travail. On aime. on n’aime pas… Chacun voit midi à sa porte. En l’occurrence, beaucoup de gens aiment, et on comprend pourquoi. D’autant que son art est franchement abordable et que l’artiste a parfois le cœur sur la main.
Le regard bleu mélancolique, les cheveux sur les épaules, l’homme a tout d’un celte antique dans la dégaine et peu-être dans le caractère quand d’un coup de glaive il coupe court brutalement à une discussion avec un galeriste qui prétend lui prendre quelques toiles en dépôt alors qu’elles ne quittent son atelier que moyennant espèces sonnantes et trébuchantes. Vraiment atypique cet animal par ailleurs très sociable, un peu comme les aimait jean-Jacques Rousseau.
A découvrir absolument.

C’est à une véritable renais­sance que vous participerez en vous rendant à l’exposition de l’œuvre sculptée de Mar­cel Damboise, présentée par la galerie Malaquais jusqu’au la janvier 2009, « Marcel qui? », me direz-vous.
Il est vrai qu’en matière de sculp­ture du XXe siècle, les réfé­rences s’appellent plutôt Picasso, Léger ou Moore. Ce sculpteur discret, comme tous ceux rattachés au mouvement figuratif, est longtemps resté dans l’ombre, faisant l’objet du dédain d’aficionados de l’art le qualifiant de « trop classique».

Des prix d’appel à partir de 2 000 euros.

Ces artistes, dans la lignée de Rodin et Maillol, retrouvent les faveurs du pu­blic. Eve Turbat, de la galerie Malaquais, les qualifie d’ar­tistes indépendants, ni aca­démiques, ni modernistes. « Ce sont des architectes du sen­sible, Ils ont une technique so­lide, mais la transcendent pour laisser libre cours à leur in­terprétation et solliciter les sentiments»,explique t-elle. Il en résulte une sculpture tactile, charnelle, où la courbe voluptueuse des corps et les vi­sages apaisés dégagent une douce sensualité. La femme y a une place de choix. (more…)

Voilà que la galerie Boidet, à Chambéry ferme définitivement.
Personne pour prendre la suite du magasin d’encadrement. Et le propriétaire
se retire avec son épouse sur quelques hectares de terres in the middle of Nowhere.
Peu de galeries dans la région, sauf Annecy et quelques grandes stations hivernales.
Cette fois ce sera le désert.
Donc commémoration de cet évènement et ultime vernissage avec Bernard Merle que je ne connais pas et qui exposera des huiles sur toile.
Ce sera le 28 novembre à partir de 17 heures, en présence de l’artiste.
Pendant ce temps, de mon côté, tandis que je glande, entre deux visiteurs, je pétris la plastiline histoire de bien utiliser le temps. J’adore faire des mains, autant que les visages. C’est le pied.

L'étreinte fulgurante

Ces temps, je revisite mes sculptures pour corriger ce qui doit l’être
Sue Genesis, ce n’est pas le travail qui manque.
Mais ça avance.
Le plus dur sera de faire un moule en élastomère sans rien couper.

L’extérieur est facile n’en parlons pas.
Mais réaliser et ôter le moule au milieu n’est pas une mince affaire , même en réalisant un noyau moussé

Pour ceux que cela intéresse, sachez que je mets mon expérience du moulage d’ œuvres d’art à leur service, pour réaliser des moules en élastomère sous chape résine.

Taille des pièces: maximum un mètre pour des raisons de logistique.
Il faut que ce soient des pièces réalisées dans un matériau dur.

Possibilité également de réaliser des répliques en matériaux durs à partir d’un original en terre.

Me contacter à fclercrenaud (@)hotmail.com

very cool.

Was a bit worry about this part of the job.
So, decided training on a ceramic of less importance to my eyes and dewaxing the wax pouring cup first, with a powerful propane blow torch. Cracks appeared instantly due to wax expansion, but eventually it turned out rather good.
Next, for subsequent shells, I drilled a few holes here and there through the outer part of the shell to allow the pressure out, and stored the shells in a dewaxing kiln. After ten minutes, the wax flew off the kiln like grapewine juice from a press. Ten minutes later, nothing left. Time to raise temperature up to 750°c. Little smoke. Twenty minutes later, the moulds were white clean ready for casting. Incredible dewaxing speed compared with traditional methods requiring a few day to achieve the same result.
Really exhilarating.
Lovely sound.
Holes will be patched up later, with a mixture of binder and fused silica sand stucco.